jeudi 24 mars 2011

www.nde-au-dela.fr

Un film fait grand bruit en ce moment, un film de science-fiction. Pourquoi irais-je le voir puisque je connais la réalité ? Qui dépasse la fiction ! Car qui peut imaginer la pensée de Dieu sur notre devenir à notre sortie de notre vie terrestre ? Son dessein, son objectif ? Le passage de la mort au Monde de la Résurrection ne peut que dépasser, submerger notre imaginaire pour une raison simple : il n’y a pas de temps mais cependant des transformations s’y opèrent !
A tous ceux qui, pour n’importe quelle raison, n’ont pas pu, dans la vérité, approcher de la Révélation que Jésus nous a faite de Son Père, une « session de rattrapage » leur est offerte afin qu’ils puissent se déterminer librement sur leur destinée : le Dieu-Trinité ou l’enfer. La Vie du Dieu-Trinité, comme je L’ai expérimentée dans l’extase appelée « prière de feu » (St Cassien)
Comment avoir peur d’un Dieu qui nous offre sa Vie et de son Fils qui nous accueille à notre départ de la terre ? Départ qui peut être définitif, ou provisoire comme dans la NDE.
La révélation privée qui m’a été donnée est connue de nombreux membres de l’Eglise, y compris sa hiérarchie. Elle est écrite, avec les dates d’arrivée, dans les actualités du site http://www.nde-au-dela.fr/
Alors que la mort est souvent agitée pour remplir les lieux de prière, par cette révélation Dieu propose de nous donner la paix à ce sujet.
« C’est du cinéma » exprime bien dans le langage courant que ce n’est pas la réalité. Alors, puisque ce qui est décrit ne nous atteindra pas, on peut le regarder tranquille.
Mais pourquoi avoir peur de la réalité puisque ce qui nous atteindra tous effectivement, est une histoire d’amour entre Dieu et chacun de nous, qui peut, si nous le voulons bien, durer éternellement ?

samedi 19 mars 2011

La tête dans le sable

Le docteur Charbonnier s’étonne qu’il soit si difficile de parler d’un évènement que nous vivrons tous un jour ou l’autre. Un évènement que nous refusons de regarder. Et en refusant d’en connaître les différentes phases, par exemple sur mon site, il continue de nous angoisser. Pareil à l’enfant qui se cache sous ses draps par peur, peur de cette ombre qu’il n’aurait qu’à regarder pour l’identifier et voir disparaître son angoisse. Ces milliers de Japonais morts, disparus dit-on pour cacher ce mot, ont-ils réussi à vous faire penser à la vôtre ?
Médecin anesthésiste, il a l’occasion d’entendre des récits de NDE comme tous ses collègues et les infirmières de salles de réanimation. Mais comment obtenir une preuve scientifique du déplacement de la « personne » sans sa cosmose (*) , de sa capacité de voir, d’entendre ce qui est hors de sa portée de ses yeux, de ses oreilles ? Même quand le cerveau est cliniquement mort ?
Seuls les témoignages peuvent la donner par leur concordance. Le témoignage d’un ami n’est pas plus valable que ceux de milliers de Emistes (*) , identiques.
Le témoignage du technicien de l’armée de l’air, mis sur mon site, qui a pu faire cesser l’électrocution de sa cosmose qu’il voyait tressauter, en communiquant avec son collègue qui ne pouvait s’en douter, met en lumière que les Emistes voient, entendent et communiquent pendant leur NDE.
Les tenants de la localisation de la « personne » dans le cerveau ne peuvent croire à ces milliers de témoignages. Combien de temps a-t-il fallu pour faire admettre la circulation du sang, Molière ?
Ce médecin émet l’hypothèse que la « personne » est à l’extérieur de la cosmose. Mais alors, comment la fait-elle agir en temps habituel ?
Des travaux ont montré que le temps de la décision consciente dans le cerveau de faire un mouvement SUIT d’à peu près 300 millièmes de secondes le temps de l’initialisation du mouvement. (Henri Atlan « La philosophie de l’éprouvette » p.90) Autrement dit la décision consciente ne vient pas du cerveau.
L’idée du Docteur Charbonnier de considérer le cerveau comme un organe au même titre que le foie ou le cœur, çad que greffer un cerveau, si on surmonte cette complexité, ne changera pas la » personne », a mon accord. Mais le corps (*) habite une cosmose DETERMINEE qui est son propre moyen d’expression. Il peut la quitter, c’est ce qui se passe dans la NDE ou dans la mort ; il la retrouvera, complètement renouvelée quand la création toute entière le sera, à la Résurrection générale. Et d’une matière totalement soumise à sa volonté, comme les apparitions de Jésus et de Marie l’ont montré.

(*) voir le site http://www.nde-au-dela.fr pour les définitions de cosmose et corps ainsi que le témoignage du technicien et la révélation privée qui m'a été donnée sur mort/résurrection

vendredi 11 mars 2011

Question sur la souffrance

Qui ne s’est posé la question un jour : comment les martyrs pouvaient-ils supporter les supplices qu’autrefois, les tortionnaires imaginatifs pouvaient infliger ?
Il y a, et des victimes ont pu en rendre témoignage de nos jours, des substances qui endorment la partie du cerveau qui permet de sentir la douleur, et qui sont déclenchées par l’exaltation de la cause défendue ou la foi en Dieu. Mais il y a aussi la vigilance de Dieu envers les humains, son amour qui sait ne pas les laisser les éprouver au-delà de leurs propres capacités.
Un missionnaire racontait qu’ayant reçu 40 coups sur la plante des pieds, il n’avait senti, mais atrocement senti, que les premiers coups.
Un vidéo récente met en scène le récit de Chantal Quacchia qui a eu un accident de moto il y a pas mal d’années maintenant. Impossible à raconter à l’époque tant que les récits de NDE n’étaient pas crédibles. Ce qu’ils sont devenus avec leur multiplication. (www.youtube.com)
Elle circulait en moto sur une route, un camion est rentré dans sa moto. Si sa cosmose était toujours sur sa moto au moment du choc, elle, elle était au dessus, regardant son accident et tout ce qui a suivi. Elle n’a donc rien senti jusqu’au moment où il lui a bien fallu rentrer dans sa cosmose et faire réparer l’ensemble à l’hôpital. Sa NDE est très classique : rencontre avec la lumière/chaleur/amour, à part ce « détail » de sa désincorporation avant le choc de l’accident.
Dieu n’a-t-Il pas désincorporé des martyrs avant leur mort dans les supplices qu’ils ont ainsi pu voir d’en haut ? Les soustrayant à des souffrances inimaginables ?
Et le Christ pourra-t-on objecter, a-t-Il vraiment souffert jusqu’au bout ce supplice de la croix ? Oui, parce qu’IL a poussé un grand cri au moment de mourir, et une cosmose, sans la personne qui est sa partenaire habituelle, ne peut faire aucune action d’elle-même.
La « cosmose » est ce qu’on peut matériellement toucher d’un être humain. Je l’ai définie le 23/09/09 sur le site
http://www.nde-au-dela.fr où est écrite la révélation privée que Dieu m’a donnée sur notre passage de notre mort au Monde de la Résurrection
Cette définition a été déposée à l’Académie Française
La cosmose est l’expression extérieure de l’être humain et chaque cosmose est l’expression d’un être humain particulier. Dans le Monde de la Résurrection chacun disposera de sa cosmose renouvelée par l’Esprit Saint qui fait toutes choses nouvelles.

jeudi 3 mars 2011

L'arbre de vie vu par saint Irénée de lyon

J’avais acheté en 2007 un très gros livre, pour un prix qui défiait toute concurrence, 26.30 Euros, 735 pages, collection « Sagesses chrétiennes » d’un auteur qui ne demandait pas de droits mais qui est et reste une référence : Saint Irénée de Lyon « Contre les hérésies ». J’avoue que le prix m’avait attiré et aussi l’idée que celui qui parlait « des deux mains de Dieu » devait être un auteur plein de bonne imagination spirituelle. Car j’avais lu quelques livres de cette collection, pris au hasard puisque je n’avais aucun conseil, et si certains auteurs témoignaient d’une imagination débridée, d’autres au contraire m’avaient donné une excellente formation.
J’avais alors un Père spirituel, le seul disponible dans ma région, qui se contentait de m’écouter sans réagir, sauf une insistance à me persuader que chercher à comprendre était de l’orgueil. Comme je n’ai pas eu de formation spirituelle ou religieuse avant d’arriver dans l’Eglise en 2001, je l’ai cru et j’ai fermé mon 2° cerveau, appelé subconscient ! Je l’ai quitté en 2007, quand mon livre est sorti, et il a fallu un an pour que mon subconscient se remette à fonctionner.
Je n’ai jamais eu d’autre mémoire que visuelle, les maths n’en demandent pas et je n’avais jamais fait d’autres études. Incapable de répéter une phrase, même pas longue, juste après l’avoir lue.
Ce qui m’a amusé quand j’ai commencé à lire ce livre, c’est la capacité des intellectuels à échafauder une telle cosmogonie divine ! J’en ai lu presque la moitié ! Puis j’ai laissé tomber ! Qu’y ai-je appris ? Je ne sais pas. Et qu’ai-je appris des autres livres lus ? Cela faisait bien 50 ans que lire ne m’était guère arrivé et un ermite lit beaucoup ! Je m’étais plainte au Seigneur : Pourquoi lire autant alors que le livre refermé, je ne rappelle pas du tout de quoi il peut bien parler ! J’étais profondément découragée et prête à lâcher. Mais le Seigneur m’a répondu, le 23/02/07
« Fais ce que je te dis tranquillement, accepte de ne pas comprendre, de ne rien retenir. C’est moi qui te mets dans la tête ce que je veux, alors que tu ne t’en rends pas compte »
Cette phrase était formulée et d’une longueur exceptionnelle.
Pourquoi raconter cet épisode ? Parce que je viens de reprendre ce livre et en feuilletant la partie déjà lue, je trouve… III, 23,6 « C’est aussi pour ce motif qu’Il le chassa du paradis et qu’Il le transféra loin de l’arbre de vie : non qu’Il lui refusât par jalousie cet arbre de vie, comme d’aucuns ont l’audace de le dire, mais Il le fit par pitié, pour que l’homme ne demeurât pas à jamais transgresseur, que le péché qui était en lui ne fût pas immortel et que le mal ne fût pas sans fin ni incurable. Il arrêta ainsi la transgression de l’homme, interposant la mort et faisant cesser le péché, lui assignant un terme par la dissolution de la chair qui se ferait dans la terre, afin que l’homme, cessant enfin de vivre au péché et mourant à ce péché, commençât à vivre pour Dieu »
Le Seigneur m’a fait ressortir cette idée alors que je pensais en toute bonne foi l’avoir imaginée moi-même (voir le blog précédent) . Deux conclusions s’imposent :
Cette idée est bien celle de Dieu, St Irénée l’avait bien trouvée
Cette longue phrase du Seigneur est bien réalisée
Je continue à lire en ne me rappelant rien de mes lectures, même si je note des réflexions sur un cahier en lisant. Je continue à regarder le carnet où je note les titres lus, pour savoir si j’ai déjà lu tel livre. Et je sais que le Seigneur range dans mon esprit ce qu’Il juge utile !