mardi 12 avril 2011
Que s'est-il passé le Jeudi Saint ?
Quand Jésus m’a renvoyé sur terre alors que le processus de ma mort était engagé, c'est à dire m’a fait connaître une NDE, à 24 ans, je me suis fâchée avec Lui. Je voulais mourir. Et pour me faire revenir à Lui, Il a fait plusieurs tentatives non réussies. Enfin, Il m’a parlé d’une voix chaude de baryton-basse dans une église vide à Madagascar. J’ai alors accepté de Lui signer un chèque vraiment en blanc : à 66 ans, je savais que je ne savais pas où Il m’emmènerait. Cette humilité de Jésus qui s’agenouille devant Judas, j’en ai l’expérience. Quand Jésus entame ce repas du jeudi avec ses Apôtres et quelques disciples (dont Cléopas et sa femme, ceux d’Emmaüs) Il savait que Judas avait l’idée de Le trahir. Il savait que ce serait dans ces jours-là, mais Il ne savait pas quand. Il s’agenouille donc devant les Apôtres pour leur laver les pieds (moi, je pense que Pierre n’est ni le premier, ni le dernier) Il s’agenouille donc devant Judas ; en lui lavant les pieds, Il lui demande de ne pas faire ce péché et lui en offre le pardon. Judas voyait en Jésus un homme qui jouait le rôle du Messie par certains aspects, mais n’était pas le chef de guerre annoncé, et qui en plus s’autorisait à pardonner les péchés ce qui est un blasphème. Judas L’a méprisé, à ses pieds, et là, a pris sa décision de Le livrer, en révélant aux prêtres sa cachette pour la nuit. Pour lui, ce faux Messie ne pouvait qu’empêcher la venue du « vrai Messie ». Jésus échoue. Dans ce cas pourquoi attendre ? Il désigne Judas, lui demande de partir, et décide alors de faire de ce repas, Son repas pascal. Déjà les préparatifs avaient été faits pour le repas du vendredi, sur place. A la fin de ce repas, Jésus prendra en main la coupe d’Elie, coupe que seul le Messie a le droit de prendre, comme me l’ont indiqué les juifs messianiques.
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