vendredi 11 octobre 2013

Lettre ouverte à mes Frères Juifs


                                    Si Dieu a saisi le bras d'Abraham, comment a-t-Il pu faire mourir son Fils, comme disent les chrétiens? C'est une de vos questions.

Pensez-vous encore que c'est la voix de l'Eternel qui fait naître les petits de la chèvre sauvage?
Lui qui envoie un cancer à celui-ci et le sida à cet autre?
Lui qui a décidé de la Shoah?
             Le Père et le Fils unis par l'Esprit-Saint, Dieu-trine, a décidé l'Incarnation du Fils. Jésus est l'Expression incarné du Père-source. Jésus a vécu une vie d'homme jusqu'au bout pour pouvoir expliquer aux humains la vérité, la réalité de Dieu. Un Dieu-trine qui est un Dieu unique et n'a qu'une seule volonté, volonté d'amour.
     Jésus a accompli sa mission jusqu'au bout comme l'ont fait d'autres humains, des prophètes du Premier Testament jusqu'à ceux qui, de nos jours, sont morts torturés. La différence, et elle est infinie, est dans ce que la nature humaine de Jésus pouvait bénéficier d'un miracle sur demande, des millions d'anges, qui l'aurait faite échapper à la mort. Demander à son Père, c'était demander au Dieu-trine. Car il y a union des deux natures en Lui, divine et humaine, mais union sans fusion. C'est dans sa Personne que sa volonté humaine s'est soumise à sa volonté divine, celle du Dieu-trine, celle de son Créateur.
    Cette acceptation volontaire de sa mort, mort sur la croix à Jérusalem, Jésus a toujours esquivé une lapidation, a permis qu'Il paye de sa Personne, humano-divine, la rançon pour tous les humains.
      Vos l'avez remarqué. C'est dans la souffrance, morale aussi bien que physique, que l'humain réfléchit sur la finitude de sa vie et se tourne vers Dieu. Plus il est enfoncé dans le mal, plus sa souffrance doit être intense pour qu'il puisse se reconnaître créé et pour accéder à une demande de pardon adressée à son Créateur. C'est cette souffrance, la somme de ces souffrances dont nos natures humaines ont besoin pour se convertir, que Jésus est venu assumer pour nous. Car le Dieu-trine n'a pas voulu que nous l'assumions seuls. Jésus le pouvait, car Il est le créé-incréé. Le créé dont la volonté a totalement adhéré à la volonté de l'incréé. Le sans péché.
       J.M. Lustiger vous l'a dit. Ce n'est pas Dieu qui se promène sur terre, c'est l'Expression du Père-source qui s'est incarné et qui a pris le nom de Jésus. (La Promesse) Comme le Dieu-trine connaît les paroles que chacun des humains prononcera à sa mort, parce qu'Il est hors du temps, la mort sur la croix de Jésus Lui était présente à la création. Que les chrétiens veillent bien ne pas vous amener à penser que Dieu a obligé son Fils à mourir, ou pire, L'a envoyé sur terre pour mourir en sacrifice d'agréable odeur.
        Je ne suis pas théologienne, mais ingénieure-mathématicienne retraitée, ermite catholique depuis 11 ans et faite mystique-prophète par Dieu. Comme depuis Abraham, Dieu nous communique son Etre, si simple que ce sont les plus simples qui L'accueillent.
Prophétie sur   http://www.nde-au-dela.fr

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